À Mines Nancy, les activités associatives, même si elles ne sont pas évaluées, font partie de la formation au même titre que les projets et les stages. Et chacune d’entre elles contribue concrètement à l’évolution personnelle de l’élève ingénieur.
Il y a une vie après l’école
Rock, orchestre symphonique, cinéma, photo, sport, cirque, théâtre… À l’École, les activités associatives font partie de la vie. On y trouve pas moins de 50 clubs et associations d’étudiants.
Le meilleur des études
À Mines Nancy, on n’oublie pas qu’un étudiant épanoui devient un adulte éclairé et que les années qu’il passe à l’École sont celles durant lesquelles il devra se construire ses meilleurs souvenirs d’étudiant.
De larges plages horaires sont aménagées dans les emplois du temps, en veillant à ce que les élèves ingénieurs s’investissent dans la vie associative : une respiration salutaire que l’école considère comme un temps de formation.
Actions au long cours…
Humamines, l’association à vocation humanitaire et sociale de Mines Nancy, décline la solidarité à tous les temps et à tous les modes. Au programme : action humanitaire, collectes de sang, soutien scolaire auprès d’élèves en difficulté ou visites d’enfants malades à l’hôpital…
Vert’Mines se propose quant à elle de sensibiliser les étudiants au développement durable, au coeur de son projet, l’alimentation, le tri des déchets et les économies d’énergie.
Et événements incontournables
Si certains clubs s’inscrivent dans le quotidien, d’autres s’emploient à cultiver le terrain événementiel. C’est le cas de l’association Forum Est-Horizon qui organise chaque année le plus grand salon de rencontres ingénieurs- entreprises de l’Est de la France : une manifestation dont la dernière édition a attiré plus de 50 exposants et plus de 2 000 étudiants.
Nettement plus débridées, mais toutes aussi sérieuses dans leur préparation, les participations au 4L Trophy et aux 24 h de Stan : d’un côté, un raid aventure de 6 000 km qui permet aux équipages en lice d’acheminer des fournitures aux enfants les plus démunis du Maroc ; de l’autre, une course d’équipe de 24 h qui voit une vingtaine d’écoles et d’universités se livrer à une lutte toute aussi fraternelle qu’effrénée à bord de leurs gigantesques chars anthropomobiles.